Le comportement des indices boursiers européens continue de traduire la relative hésitation des intervenants. Après la chute de 20% au mois d’août suivi du rebond technique d’une dizaine de pourcents, les investisseurs font à présent face à un marché de consolidation.
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Après un mouvement de baisse d’une vingtaine de pourcents en un peu plus de deux semaines, les indices boursiers européens semblent en mesure de se reprendre. La réaction haussière après la séance panique de ce lundi, et ce dans d’importants volumes (plus de 10 milliards d’euros s’agissant du CAC 40), plaide en effet pour une poursuite de la reprise à court terme. A moyen terme, la situation est en revanche dégradée, suite à la rupture de seuils majeurs, à l’instar des 4600 points pour l’indice français.
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Après la correction marquée des indices boursiers européens ces derniers jours suite à la dévaluation du yuan par la Banque centrale chinoise, les données du courtier IG indiquent que les clients particuliers continuent de se positionner à l’achat. Sur l’indice allemand, les positions ouvertes sont en effet majoritairement effectuées à l’achat (près de 80% hier). De quoi laisser entrevoir un rebond technique à court terme, après sa chute de près de 10% ces derniers jours.
L’indice CAC 40 a aujourd’hui enfoncé son support, terminant sur les plus bas du jour et depuis le 10 juillet. La rupture du point bas de la semaine passée après quelques jours d’hésitation autour des 5000 points suggère que le mouvement correctif devrait se poursuivre en direction des 4800 points. Les valeurs liées à la Chine et aux matières premières sont particulièrement affectées, à l’instar des Ressources de bases et de l’énergie, dont ArcelorMittal, Eramet, CGG, Bourbon, Maurel & Prom, Technip, Vallourec…
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Le CAC 40 poursuit son mouvement de consolidation consécutive à son rallye de +13% en l’espace de neuf séances. Graphiquement, les perspectives demeurent favorables à moyen terme, l’indice français disposant de la capacité de franchir ses plus hauts annuels et de rallier sa résistance psychologique des 5500 points. Le secteur bancaire semble particulièrement disposé, à l’instar des titres Crédit Agricole et Société Générale qui évoluent actuellement sur des plus hauts de plusieurs années.
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Après trois mois de consolidation depuis l’inscription des plus hauts annuels, les indices européens ont repris le chemin de la hausse, les investisseurs étant désormais libérés du poids et de l’incertitude que faisait peser le dossier grec, et ce même si celui-ci n’est pas définitivement réglé. Le problème est simplement reporté, mais cela est suffisant pour dégager l’horizon et redonner de la visibilité aux intervenants sur le proche avenir. Les marchés anticipent, certes, mais pas trop loin non plus – ce qui est d’ailleurs le cas de nos gouvernants et des peuples sur bien d’autres problématiques (système de retraite, réchauffement climatique,…). Mais ne polémiquons pas, revenons à ce qui nous préoccupe à très court terme… à savoir ce que vont faire les marchés.
En Europe, les configurations graphiques de moyen terme restent clairement haussière. Vague haussière au T4 2014 et T1 2015 (+40% pour le CAC 40), suivie d’une période de consolidation / digestion au T2 2015 dont nous venons de sortir après un net rebond suite au test du support majeur des 4600 points, seuil correspondant au sommet de 2014. La moyenne mobile à 30 semaines (150 jours) continue de soutenir le mouvement et d’être orientée à la hausse, et l’extraction du canal de consolidation s’est faîte de façon impulsive (avec des gaps haussiers et un rallye de +13% en l’espace de 9 séances). Difficile de ne pas être haussier donc, et le fait que de nombreux intervenants ne croient pas à une poursuite de la hausse me rassure. Un consensus haussier trop fort serait au contraire inquiétant, cela signifierait que le réservoir potentiel d’acheteur ne pourrait relayer le mouvement.
S’agissant de l’indice CAC 40, je m’attends donc au dépassement des plus hauts annuels, qui ont d’ailleurs déjà été testés si l’on regarde le CAC 40 GR (dividendes réinvestis) ou le MIB 30 italien. Au niveau sectoriel, l’énergie et les ressources de bases sont à éviter, tandis que les services aux collectivités et les valeurs bancaires sont à privilégier. Société Générale, Crédit Agricole, ING Groep et KBC sont notamment déjà sur de nouveaux plus hauts de plusieurs années, et la tendance pourrait s’accentuer dans le courant de l’été. L’indice français pourrait donc rallier sa résistance psychologique et de 2007 à 5500 points lors des prochaines semaines.
Aux Etats-Unis, le S&P 500 plafonne sous ses plus hauts historiques, qui sont matéralisés par une zone de résistance à 2130 points. La tendance de fond reste toutefois haussière, comme l’illustre le soutien de la moyenne mobile à 30 semaines. La pression haussière devrait donc avoir raison de cet obstacle, et ouvrir la voie à de nouveaux sommets (2250 points étant un objectif théorique). La lecture des sentiments de marché réalisée par l’association américaines des investisseurs individuels (AAII) ne montre d’ailleurs pas d’excès d’optimisme, puisque seul un tiers des sondés sont haussiers. 
Même son de cloche s’agissant du Nasdaq 100. Même si Apple – première capitalisation mondiale – a déçu la communauté financière cette semaine et failli à marquer de nouveaux records, d’autres titres tels qu’Amazon (dont la capitalisation boursière vient de dépasser celle de Wall Mart) ou Facebook continuent de rapprocher l’indice américain de son plus haut historique marqué en mars 2000.
Les niveaux actuels ne sont certes pas opportuns pour se positionner massivement à l’achat, mais il n’y a pas de raison non plus d’être inquiet et de se désengager massivement. Aucune formation de retournement n’apparaît, et les configurations graphiques montrent au contraire un potentiel d’appréciation pour les prochaines semaines.
L’indice CAC 40 consolide après la forte appréciation de ces deux dernières semaines (+13% depuis le test des 4600 points en l’espace de neuf séances seulement). La bonne tenue des cours suggère toutefois que la hausse devrait se poursuivre dans le courant de l’été, et permettre à l’indice français comme à ses homologues européens d’inscrire de nouveaux plus hauts annuels.
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Sixième séance de hausse pour le CAC 40, qui affiche désormais une progression de près de +10% depuis son rebond sur les 4600 points. La bonne tenue de l’indice français à l’approche de ses plus hauts de juin témoigne de l’appétit acheteur, et présage d’un retour au contact des plus hauts annuels dans le courant de l’été. Les valeurs bancaires devraient notamment en profiter, à l’instar du Crédit Agricole qui marquait déjà un nouveau plus haut depuis 2008.
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Bien que ce 14 juillet soit férié et donc que les volumes sont relativement réduits à la Bourse de Paris, le CAC 40 est parvenu à enregistrer une cinquième séance de hausse consécutive, renouant ainsi avec les 5000 points. Techniquement, l’indice français – comme ses homologue européens d’ailleurs – semble bien parti pour rallier ses plus hauts annuels dans le courant de l’été. Une dynamique dont devrait en particulier profiter le secteur bancaire.
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Les actions européennes poursuivent leur recul ce mardi, en raison de l’incertitude qui entoure le dossier grec. La monnaie unique européenne résiste globalement bien quant à elle sur le marché des changes. Du côté des matières premières, les céréales sont vivement recherchées car les conditions météorologiques risquent de pénaliser les récoltes.
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